Véritable miroir pour le chef d’entreprise, l’investisseur nous oblige à nous poser les bonnes questions.
Jean-Luc Neveu, Conecteo

Martillac, Technopôle Bordeaux Montesquieu… C’est sur ce parc d’excellence et d’innovation que s’est installée, en 2006, Conecteo. Un start-up devenue en quelques années une référence sur le marché des solutions intégrées de gestion des interactions clients pour les entreprises et les centres de contacts. « J’ai créé la société, avec deux associés, en 2005, précise son Directeur général Jean-Luc Neveu. Notre ambition était de proposer une solution beaucoup plus simple et ergonomique que celles des principaux acteurs, essentiellement américains, présents sur le marché. Une solution sur mesure qui puisse s’adapter aux besoins et aux attentes spécifiques de chacun de nos clients ».
FINANCER L’INVESTISSEMENT DANS LE CAPITAL HUMAIN
Pari réussi puisque sa solution, baptisée Kiamo, séduit de plus en plus de PME et de grands comptes comme, par exemple, BNP Paribas, Fortuneo Banque, la Banque Postale, MAAF Assurances, Yves Rocher, Rue du Commerce, Décathlon, la Région Aquitaine, Geodis ou encore le Groupe Pichet. « Nous avons connu une croissance très rapide, ce qui nous a amené à devoir mettre en place un service marketing, commercial, RH et donc à embaucher. Par ailleurs, notre stratégie de développement passait aussi par de forts investissements en R&D et nécessitait, là encore, de recruter de nouveaux collaborateurs. Face à cette situation nous avions deux solutions : nous appuyer uniquement sur nos fonds propres mais cela allait demander beaucoup trop de temps, ou faire appel à des investisseurs tels qu’Aquiti Gestion ».
UN PARTENAIRE A l'ECOUTE AVEC QUI ÉCHANGER
Pour répondre aux exigences du marché sans perdre de temps, c’est donc cette seconde option qui est retenue par Conecteo en 2009. « Les dirigeants ont souvent beaucoup d’appréhension à faire entrer des investisseurs au capital de leur entreprise, indique Jean-Luc Neveu. Pourtant, il n’y a aucun risque d’ingérence. Cela n’est d’ailleurs clairement pas leur rôle. En revanche, leur arrivée nous oblige à clarifier nos objectifs, nos moyens, notre stratégie. Leur accompagnement s’inscrit dans la durée et ils jouent le rôle d’aiguilleurs en n’hésitant pas à nous alerter sur certains points ou certaines orientations que l’on peut prendre. Avec Aquiti Gestion, par exemple, nous partageons nos idées sur le marché, le business, la concurrence, le développement à l’international, etc. Des échanges qui se trouvent facilités par la présence régionale et la proximité offertes par Aquiti Gestion ».
FINANCER L’INVESTISSEMENT DANS LE CAPITAL HUMAIN
Pari réussi puisque sa solution, baptisée Kiamo, séduit de plus en plus de PME et de grands comptes comme, par exemple, BNP Paribas, Fortuneo Banque, la Banque Postale, MAAF Assurances, Yves Rocher, Rue du Commerce, Décathlon, la Région Aquitaine, Geodis ou encore le Groupe Pichet. « Nous avons connu une croissance très rapide, ce qui nous a amené à devoir mettre en place un service marketing, commercial, RH et donc à embaucher. Par ailleurs, notre stratégie de développement passait aussi par de forts investissements en R&D et nécessitait, là encore, de recruter de nouveaux collaborateurs. Face à cette situation nous avions deux solutions : nous appuyer uniquement sur nos fonds propres mais cela allait demander beaucoup trop de temps, ou faire appel à des investisseurs tels qu’Aquiti Gestion ».
UN PARTENAIRE A l'ECOUTE AVEC QUI ÉCHANGER
Pour répondre aux exigences du marché sans perdre de temps, c’est donc cette seconde option qui est retenue par Conecteo en 2009. « Les dirigeants ont souvent beaucoup d’appréhension à faire entrer des investisseurs au capital de leur entreprise, indique Jean-Luc Neveu. Pourtant, il n’y a aucun risque d’ingérence. Cela n’est d’ailleurs clairement pas leur rôle. En revanche, leur arrivée nous oblige à clarifier nos objectifs, nos moyens, notre stratégie. Leur accompagnement s’inscrit dans la durée et ils jouent le rôle d’aiguilleurs en n’hésitant pas à nous alerter sur certains points ou certaines orientations que l’on peut prendre. Avec Aquiti Gestion, par exemple, nous partageons nos idées sur le marché, le business, la concurrence, le développement à l’international, etc. Des échanges qui se trouvent facilités par la présence régionale et la proximité offertes par Aquiti Gestion ».
« LES BANQUES SONT PRESENTES LORSQU’IL S’AGIT D’INVESTIR DANS DES EQUIPEMENTS… PAS POUR FINANCER VOS BESOINS EN RECRUTEMENT »
DEUX LEVEES DE FONDS PORTEUSES DE SUCCÈS
Fort de cette relation de confiance, Conecteo a d’ailleurs procédé à une seconde levée de fonds avec les mêmes investisseurs, deux ans plus tard : « L’idée était d’accélérer la mise en œuvre de notre stratégie de développement, souligne Jean-Luc Neveu. Au total, nous avons levé 2,4 millions d’euros : 800 000 euros en 2009 et 1,6 millions d’euros en 2011. La société compte aujourd’hui 35 salariés et a vu son chiffre d’affaires augmenter de 40% en 2014. Et ce sans perdre la moindre indépendance. Vous savez, aujourd’hui, je suis seul à la tête de Conecteo… Et je peux vous avouer qu’il est plus compliqué de travailler avec des associés qu’avec des investisseurs ! ».
EN BREF
Fort de cette relation de confiance, Conecteo a d’ailleurs procédé à une seconde levée de fonds avec les mêmes investisseurs, deux ans plus tard : « L’idée était d’accélérer la mise en œuvre de notre stratégie de développement, souligne Jean-Luc Neveu. Au total, nous avons levé 2,4 millions d’euros : 800 000 euros en 2009 et 1,6 millions d’euros en 2011. La société compte aujourd’hui 35 salariés et a vu son chiffre d’affaires augmenter de 40% en 2014. Et ce sans perdre la moindre indépendance. Vous savez, aujourd’hui, je suis seul à la tête de Conecteo… Et je peux vous avouer qu’il est plus compliqué de travailler avec des associés qu’avec des investisseurs ! ».
EN BREF
- Besoins de Conecteo : financer les investissements en R&D et en développements « produits », et donc en capital humain.
- Deux levées de fonds : 800 K€ en 2009, puis 1.600 K€ en 2011 auprès d’AQUITI GESTION (ACI) et de deux autres investisseurs.
- Prochaine étape : l’internationalisation de l’activité… Et peut-être une nouvelle levée de fonds ?